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lundi, 23 mars 2015

Ronde des visages (dans la ville), 2.

 

 (1.)

 

  

Le visage dont on ne sait rien, dont on aimerait savoir quelque chose,

 

Le visage auquel on ne la fait pas, qui croit en, qui croit à, qui est certain,

  

Le visage qui n'est pas là, on se demande pourquoi,

  

Le visage d'un petit dieu, métamorphosé (ou en attente de l'être),

  

 Le visage qui croit fermement qu'il est un visage...

 

 

 (à suivre)

 

 

 

06:37 Écrit par Frédéric Tison dans Minuscules, Ronde des visages | Tags : frédéric tison, minuscule | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

L'hôtel particulier du corsaire

 

 

 

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L'Hôtel Dubocage de Bléville (XVIIe s.),
ancienne propriété du navigateur, corsaire et négociant
Michel Joseph Dubocage de Bléville (1676-1727),
au Havre, photographie : septembre 2014.

 

 

 

dimanche, 22 mars 2015

Hommage à Nicolas de Staël (détail (3))

 

à Norbert.

 

 

 

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Dans le port du Havre,
photographie : septembre 2014.

 

 

 

Équilibres

 

 

 

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En l'église Saint-Joseph du Havre (1951-1956),
par Auguste Perret (1874-1954)
,
photographie : septembre 2014.

 

 

Légèreté du béton

 

 

 

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Le clocher, vu du chœur, de l'église Saint-Joseph du Havre (1951-1956),
par Auguste Perret (1874-1954),
photographie : septembre 2014.

 

 

 

jeudi, 19 mars 2015

Aller à Honfleur

 

 

 

 

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Johan Barthold Jongkind (1819-1891), Quai à Honfleur (1866),
musée d'art moderne André-Malraux, au Havre,

photographie : septembre 2014.

 

 

 

(Entre autres tâches)

 à Antire.

 

 

Le poème est de dévorer le monde des yeux.

 

 

 

06:15 Écrit par Frédéric Tison dans Minuscules | Tags : frédéric tison, minuscule | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

mercredi, 18 mars 2015

Le petit homme en noir

 

 

 

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Félix Vallotton (1863-1925), Pont à la romaine à Cagnes (1923), détail,
musée d'art moderne André-Malraux, au Havre,

photographie : septembre 2014.

 

 

 

La Librairie de Jean, duc de Berry, au château de Mehun-sur-Yèvre, en 1416 (47)

 

 

Introduction.

 

 

 

« 102. Un grand livre appellé le Livre de Lancelot du Lac, escript en françois de lettre de fourme, et bien historié au commencement et en plusieurs lieux ; et au commencement du second fueillet a escript : En la fin ; et est couvert de drap de soye vert à deux fermoers dorés ; lequel livre mondit Seigneur acheta l’an que dessus 1404 de maistre Régnant du Montet, demeurant à Paris, la somme de trois cens escus d'or._125 liv. »

 

Il s’agit de l’un des romans des Chevaliers de la Table ronde, le Lancelot-Graal, dont l’attribution est incertaine.

 

 

« 103. Un livre nommé Giron le Courtois, en deux volumes, commençant au second fueillet du premier volume : Prudomes et hardis, et au second fueillet du second : Quand le bon chevalier ; couvert de veluyau vermeil empraint, chascun à deux fermoers d'argent aux armes de Monseigneur, et sur cbascun volume cinq boulions dorés à fleurs de bourrache._150 liv. »

 

Roman des Chevaliers de la Table ronde, le Roman de Giron le Courtois fut composé vers le milieu du XIIIe siècle par un auteur inconnu (peut-être Hélie de Boron, prétendu neveu de Robert de Boron) et traduit par Luce du Gast (né vers 1190).

 

 

 

(à suivre.)

 

 

mardi, 17 mars 2015

Détail d'un paysage sicilien

 

 

 

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Nicolas de Staël (1914-1955), Agrigente (1953), détail,
exposition « Nicolas de Staël, Lumières du nord, Lumières du sud »,
au musée d'art moderne André-Malraux, au Havre,
photographie : septembre 2014.

 

 

 

Hommage à Nicolas de Staël (détail (2))

 

 

 

 

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Dans le port du Havre,
photographie : septembre 2014.

 

 

 

lundi, 16 mars 2015

Hommage à Nicolas de Staël (détail)

 

 

 

 

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Dans le port du Havre,
photographie : septembre 2014.

 

 

 

L'orthographe honteuse

 

 

 

Sans doute l'orthographe relève-t-elle du champ de la honte si bien que l'on n'ose guère signaler quelque erreur à celui qui nous ferait lire, par exemple, un texte de sa composition qui en contiendrait.  Pour ma part, je corrige toute la journée des fautes de cette sorte, sur des brouillons d'adolescents : ces derniers m'en sont reconnaissants. J'aimerais qu'il fût possible de faire de même avec un adulte ; les fautes de grammaire et d'accord lui apparaîtraient, hélas, des plus humiliantes, si bien que j'ai désormais toujours quelque scrupule à signaler quoi que ce soit. C'est un tort, à mon sens ; je regrette pour ma part que, lorsqu'on s'en avise, l'on ne me signale (ou n'ose le faire ?) les fautes d'inattention (ou d'ignorance) que je puis commettre. À qui donc n'est-il jamais arrivé de commettre une faute, surtout s'il s'agit de la langue française, si complexe, minée de part en part et subtile ? Je parle, par exemple, des fautes qui ont pu se glisser dans les billets de ce blogue-ci, fautes dont je me suis rendu compte bien trop tard, mais aussi, j'y pense, d'un oubli de liaison dans la voix, celui dont je fus atteint, hélas, à trois reprises, lors de ma lecture publique et filmée à la bibliothèque de Belfort, en mars 2014 (épisode dont mon Lecteur retrouvera facilement la trace dans le tréfonds de ces pages virtuelles) : « Il faut h'avoir, il faut h'avoir, il faut h'avoir », répétai-je benoîtement tandis que mon microphone me trahissait et qu'une dame me demandait de parler plus haut — et ce ne fut pas là ma seule erreur de liaison ! L'enregistrement de mes fautes est définitif, dès lors mes fautes le sont autant ; tant pis ! Quant aux fautes écrites, je prie instamment mon cher Lecteur de me les pointer : je ne pourrai jamais que lui en savoir gré. Ainsi nous œuvrerons ensemble.

 

 

 

Le soleil

 

 

 

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Nicolas de Staël (1914-1955), Le Soleil (1953),
exposition « Nicolas de Staël, Lumières du nord, Lumières du sud »,
au musée d'art moderne André-Malraux, au Havre,
photographie : septembre 2014.

 

 

 

dimanche, 15 mars 2015

Ce Léthé

 

 

 

Les oiseaux ont des visages que nous oublions lorsque nous ne les regardons pas.

 

 

 

 

19:06 Écrit par Frédéric Tison dans Minuscules | Tags : frédéric tison, minuscule | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |